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Olivier Legré

jeudi 2 juillet 2009, par Michel Balat

… quelque part dans Paris, deux aliénistes d’(avant)garde

Messages

  • Je le trouve drôle.

    Tout le monde ne rit pas pour la même raison.

    En cela, il est vraiment drôle.

    Et si çà avait été un dessin, il aurait pu être du Plantu pour happy few.

  • Petite histoire humoristique. La souris autiste et le psychiatre :

    Il était une fois un psychiatre qui étudiais la propagation de toxines chez une souris de laboratoire (ce qui n’est pas si incongru vu qu’un psychiatre est aussi un médecin)

    La particularité de cette souris outre le fait qu’elle était sujet d’expérience, est qu’elle était supposé savoir parler grâce à sa spécificité de souris de laboratoire côtoyant des psychiatre, mais ces derniers parlant une langue incompréhensible du reste de l’espèce humaine, c’était sans succès vu que leur langage usuel n’a aucune valeur de communication et que ces gens ne parlent qu’à eux même d’eux même.

    Depuis longtemps , de nombreuses expériences avaient été tentées afin de la faire parler. Après une période de tranquillité ou elle avait d’ailleurs l’occasion de temps à autre d’observer et écouter des humains normaux , la souris tomba de nouveau entre les mains du psychiatre d’obédience psychanalytique qui entrepris de lui injecter une toxine.

    Il commence par la patte avant droite de la souris, attend un peu, note les réactions apparentes. La souris après tout ce qu’elle a enduré est néanmoins coriace. Le pauvre animal cependant, luttait avec opiniâtreté et courage pour se dégager du dispositif qui la maintenant fixée sur place.

    Puis le même procédé est répété avec l’autre patte avant, puis les pattes arrières et même les oreilles pour faire passer la toxine plus vite dans le cerveau de la pauvre souris.

    Enfin il fait une dernière piqûre dans l’appendices caudal du pauvre animal mais à peine la moitié de la dose injectée, un bruit retenti, ou plutôt un cri : "Là…là…là… Merde ! Maintenant ça suffit , j’en ai plein le cul !" Le psychiatre reste un moment stupéfait, puis note :

    "L’expérience a eu un effet inattendu, la souris autiste s’est, suite à l’injection, mise à parler avec un langage coprolalique dont j’ai toutefois pu saisir quelque bribes. je crois qu’elle a voulu m’aider en me signalant que la toxine est entrain de se concentrer dans le colon."

    Voir en ligne : Source : page d’Androïde Data